Pierre Castor 16.09.2025 : Quelle est l’heure la plus stressante et l’heure la plus zen de la journée ?
Pierre Castor 16.09.2025 : Quelle est l’heure la plus stressante et l’heure la plus zen de la journée ?
Le matin, c’est souvent l’enfer, vous le savez. Le réveil sonne, on se lève d’un bond — enfin, ça c’est la théorie — puis on enchaîne dans un marathon digne des Jeux Olympiques : douche express, café avalé de travers, tartine qui tombe évidemment du mauvais côté… et pour ceux qui ont des enfants, cerise sur le gâteau : la mission commando pour les habiller et les déposer à l’école.
Eh bien, une étude britannique menée auprès de 2.000 personnes a mis un chiffre sur ce chaos matinal : le moment le plus stressant de la journée, c’est 7h23. Exactement. Ni avant, ni après. Alors si à cette heure-là vous sentez monter la pression, rassurez-vous : vous n’êtes pas seuls, c’est officiel, c’est l’heure mondiale du stress.
Et le stress ne s’arrête pas au palier : il revient en moyenne trois fois par jour. Principalement à cause de la fatigue (46%), des nuits trop courtes (36%) et des journées de travail bien chargées (33%). Bref, de quoi vous sentir cernés…
Mais attention, mesdames et messieurs, l’étude révèle aussi une différence entre les sexes. Les femmes connaissent leur premier pic d’angoisse vers 7h50. Les hommes, eux, beaucoup plus tard : 8h43. Traduction ? Messieurs, vous laissez apparemment madame stresser avant vous… et ça ne vous stresse pas plus que ça !
Heureusement, il n’y a pas que des mauvaises nouvelles. Car il y a aussi un moment de grâce. Selon la même étude, l’heure la plus zen de la journée, c’est 20h16. Oui, pile après le dîner, quand la journée est enfin derrière soi, quand les enfants sont couchés, et qu’on peut s’installer tranquille dans le canapé avec une tisane, on reçoit un appel de la Police d’Epinal ou on se prend un verre de vin…
Alors, si ce matin à 7h23 vous étiez en apnée devant le grille-pain bloqué, rappelez-vous : tenez bon jusqu’à 20h16, c’est l’heure sacrée où tout redevient calme.
